Dans cet article, on vous partage nos ressources préférées sur un sujet brûlant : quel est l'impact de la technologie sur notre modèle de société ?
ou comment construire ensemble des technologies qui protègent la vie privée et les libertés numériques de chacun et chacune – et nous permettent de faire société.
On vous parlait dans un précédent article des biais que nous étions susceptibles d'introduire dans nos produits et nos algorithmes, notamment si nos équipes n'étaient pas assez diverses (mais pas seulement).
L'autre élément qu'on voulait souligner, c'est l'emprise d'un petit nombre d'entreprises sur le secteur de la tech :
Pourquoi ce sujet compte ? Pour reprendre les mots de l'association Framasoft, « la concentration des acteurs d’Internet [...] est nuisible, non seulement parce qu’elle freine l’innovation, mais surtout parce qu’elle entraîne une perte de liberté pour les visiteurs et visiteuses » (découvrez ici les enjeux décrits par l'association et les solutions proposées).
Et enfin, les modèles actuels de la tech ont un impact sur la société que nous construisons, voyons comment :
On espère que ces ressources vous auront donné envie de creuser encore plus le sujet ! Si cela vous a plus, vous pouvez reprendre cette série au début, avec la première cause : « Pour une technologie plus respectueuse de l'humain ».
Cette série d'articles fait partie d'un parcours d'initiation à la Tech for Good que nous animons chaque mois. Pour vous y inscrire et échanger avec d'autres personnes qui réfléchissent à ces sujets, on vous donne rendez-vous ici.
Chez Latitudes, nous veillons à utiliser un langage inclusif. Peut-être avez-vous remarqué que nous déclinions de nombreux termes au féminin et masculin : “étudiants et étudiantes” par exemple. En effet, le point médian qui est souvent de mise dans ce cas n’est pas (encore) accessible aux lecteurs d’écran des personnes malvoyantes, et nous ne voudrions pas les exclure.
Il s'agit de l'un de nos petits pas, ces petites choses que nous essayons de faire au mieux... malgré nos imperfections.